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Interview de William N'Gbala

  • Photo du rédacteur: Prix Capitoul
    Prix Capitoul
  • 10 juin 2019
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 16 juin 2019

Pour ces trois prochaines semaines, nous allons vous faire un interview des trois premiers gagnants du Prix Capitoul - 1ère édition. Nous allons débuter avec le lauréat, William N'Gbala, pour son livre Jusqu'au jour.

William N'Gbala lors de l'annonce du gagnant à la remise de prix - 29 mai 2019

Comment as-tu connu le Prix Capitoul ?


William N'Gbala. J'ai vu les affiches autour de mon école.


Pourquoi as-tu choisi de t'inscrire au Prix Capitoul ?


WNG. Pour me lancer un défi d'écriture !


Qu'est ce que tu as préféré avec le thème d'écriture imposé "Toulouse la nuit" ?


WNG. Le choix d'un thème d'écriture très large.


Avais-tu déjà participé à un concours d'écriture ?


WNG. Oui, une fois. William a participé et a remporté le Prix Nougaro en 2017.


Qu'est ce qui a été le plus difficile dans ton travail d'écriture ?


WNG. L'écriture à la deuxième personne du conditionnel a été pour moi la tâche la plus difficile. Je m'étais lancé ce défi et j'ai vite réalisé que ça allait être plus compliqué que prévu. Cela a ete source de nombreux doutes pendant mon processus d'écriture.


Es-tu écrivain amateur depuis longtemps ?


WNG. Depuis quelques années seulement.


De quelle formation es-tu issu ? L'écriture est-elle une vocation universitaire ou une passion personnelle ?


WNG. Je suis étudiant en deuxième année a Sciences Po Toulouse. On pourrait s'y méprendre mais l'écriture, le maniement des mots n'est pas forcement quelque chose d'indispensable dans cette formation, c'est d'ailleurs pour moi ce qu'il y manque le plus. Du coup je dirais que l'écriture en tant qu'art est davantage une passion personnelle dans la mesure ou ce n'est pas quelque chose qui manque a tout le monde ni n'est indispensable à la vie de tout le monde


Parle nous en quelques lignes de ton manuscrit.


WNG. C'est une histoire qui repose sur le "si". C'est un résistant condamné à mort qui rêve le temps d'une nuit à ce qu'il ferait s'il pouvait sortir de sa cellule. Je dirais que c'est une histoire qui raconte un conflit entre le rêve et la réalité, tout cela dans l'urgence, rêver rapidement, aussi rapidement que la réalité ne le rapproche de la sentence...


Quelle est la suite logique pour toi en tant qu'écrivain ?


WNG. J'ai pleins d'histoire en tête mais elles me paraissent pour le moment assez difficiles à écrire, je ne me sens pas assez mature ni prêt à me lancer dans leurs écritures. En attendant j'essaie de réfléchir à de petites nouvelles pour en faire un recueil que j'aimerais évidement éditer... Mais la suite logique disons que c'est de continuer à écrire, avec ou sans objectif si n'est produire quelque chose.


Pour quelle(s) raison(s) recommanderais-tu à un ami de participer au Prix Capitoul - 2ème édition ?


WNG. Premièrement parce que d'être encadré par un concours, ça stimule l'imagination vu qu'elle est limitée, il y a plus de chance qu'elle soit plus "efficace" si on débute. Ensuite, parce qu'en cas de victoire il vivrait des moments assez extraordinaire et hors du temps comme j'en vis depuis mercredi... Et enfin parce qu'au Bord de la Garonne il peut se passer un million d'histoires, et je suis sur que tout le monde peut en raconter une.

Pour s'inscrire, rendez-vous ici....


Vous pouvez retrouver les points de vente et le lien pour commander son livre ici.


Nous espérons que cela vous a plu et nous vous donnons rendez-vous la semaine prochaine avec Lola... ;)


L'équipe PC

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