Si cette question a émergé dans votre esprit depuis que vous avez appris d’où vient le nom de ce jeune prix, voilà votre patience récompensée.
Tout commence en septembre 2017 à l’Université Toulouse 1 Capitole et plus particulièrement dans une salle de classe qui accueille la réunion de début d’année du Collège Supérieur de Droit. A cette occasion, la directrice de ce diplôme universitaire, la professeure Aurore Gaillet, expose à ses nouveaux étudiants le déroulement des deux prochaines années qui les attendent au sein de ce diplôme. Et, entre autres informations, une retient particulièrement l’attention de la salle : il sera nécessaire au cours de l’année universitaire 2018-2019 de mener à bien un « projet d’ouverture citoyenne » visant à mettre en relation les étudiants avec une association « hors les murs de l’université ».
Une étudiante poste un message dans les jours qui suivent sur le groupe Facebook de la promotion :
« Hello ! Appel à candidature : Dans le cadre du futur CSD3 j'ai eu une idée de projet citoyen mêlant droit et art. Je cherche une personne passionnée par ces problématiques-là, quelqu’un de fou de propriété intellectuelle qui aimerait se lancer dans l'aventure dès maintenant ... Si intéressé.e.s, et bien venez en message privé. »
Cette étudiante, c’est Elsa.
Ni une, ni deux, une deuxième étudiante, tout aussi passionnée par l’art et la propriété intellectuelle, saute sur l’occasion et se rend au rendez-vous.
Cette étudiante, c’est Léa.
Le rendez-vous est constructif, intéressant et Léa décide d’en parler à une amie de la promo qui partage les mêmes passions qu’elle. Cette dernière se rend à un second rendez-vous et la voilà qui signe pour cette belle aventure.
Cette étudiante, c’est Victoire.
Et voilà comment le trio de choc est né. Les idées ont commencé à fuser, les obstacles se sont dressés, mais l’aventure s’est poursuivie. Une association a vu le jour, des entretiens avec divers institutions toulousaines ont été menés avec motivation et de la paperasse administrative a été remplie (difficilement parfois, on ne vous le cache pas !)
Mais nous n’avons jamais perdu de vue notre but principal qui a été abordé et développé au cours des premiers rendez-vous que nous nous sommes donnés : accorder leur chance aux étudiants toulousains écrivains amateurs, tout en les informant des droits que leur accorde le droit français de la propriété intellectuelle.
C’est somme toute une histoire banale d’une association qui voit le jour grâce à des passions communes, mais ce projet nous tient à cœur. Alors si cela vous dit de nous aider, n’hésitez pas à participer à notre campagne de crowfunding, cela nous ferait vraiment plaisir !
A bientôt, chers amis lecteurs et écrivains.
L'équipe PC
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